martes, 25 de noviembre de 2008

La dernière route (certaine route qui me remplie)

Ajourd’hui j’ai perdue la route de mon nom
Ajourd’hui j’ai perdue la rue de mon coeur
Ajourd’hui j'ai perdue certaine route qui me remplie
De temps en temps -certaine route qui me barre-
Qui me laisse sans cesse (qui me laisse sans âme)
Mais encore je la cherche (et) encore je la prend
Par son cou sans arrêt (et) je la laisse après
Sur la table et je reste sans savoir si la route
existe encore (ou elle ) n’existe plus