sábado, 20 de septiembre de 2008

La circulation verbale. Le corps.

I.10. Le corps

« il y a plus de raison dans ton corps que dans l’essence même de ta sagesse .» Nietsche, Ainsi parlait Zarathoustra[1]

Définition du dictionnaire.
Toute substance matérielle, organique, ou inorganique : corps solide, liquide, gazeux.
Toute chose d’extension limitée qu’il produit impression à nos sens par des qualités qui lui son propres.
Partie matérielle d’un être encouragé.
Tronc, par opposition a la tête des extrémités.
Le volume, la densité, l’épaisseur, la solidité.
Partie principale.
Ensemble de personnes qui forment un peuple, une communauté ou association.
Ensemble de règles ou de principes.
Nom donné à divers éléments anatomiques ou organes.
Distance qui sépare une ligne de texte de la suivante.

Notre corps bouge pour soi même et à partir des influences des autres corps de notre entourage. Le mouvement vient d’une série de relations entre corps individuels.
Le corps m’intéresse parce que c’est l’outil primordial donc c’est l’endroit d’où l’on part.
Le corps doit être pris en compte.
M’intéresse aussi l’observation des corps et de ses mécanismes de mouvement. Je crois que l’origine du mouvement d’un corps révèle une grande série de choses.
On verra un certain nombre de références à la conception du corps hédoniste et à la relation du Dionysos au corps.(Dionysos est attaché au corps de la même façon qu’au vin. Le vin est un symbole de vie ainsi que le corps.)
Toutes ces conceptions son des conceptions qui prennent le corps comme fondement central de sa philosophie.


[1] Michel Onfray. p.25

Azriadna Salvador_2006